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Pour la réussite de la COP 22 à Marrakech, le REMESS, avant-garde de la société civile ainsi que les organisations et les institutionnels concernés par cet événement planétaire se mobilisent pour sa réalisation et son rayonnement.
La COP 22 s’impose comme un rendez-vous mondial d’une grande importance qui constitue l’occasion de prouver que notre développement futur s’envisage et peut réussir face aux défis de la mondialisation et du changement climatique. Cet événement mondial de référence pour le développement socio économique avec une approche inclusive rassemblant la société civile, les acteurs publics, privés et locaux, la recherche et le développement ,ce qui peut contribuer à mieux fédérer nos ressources et engage la coopération internationale à réaliser au plus vite les changements positifs escomptés.

Conscient de ces impacts, le REMESS œuvre pour la création d’une synergie pour faire face aux conséquences négatives du changement climatique en mutualisant les efforts et en développant une stratégie de plaidoyer pour une justice climatique en faveur des régions les plus touchées et leurs populations. Sachant que la COP 22 se doit d’être un forum de l’innovation sociale et de l’éthique globale pour un meilleur avenir assurant les besoins notamment pour les couches sociales précaires ( (éducation, santé, eau,…..,etc) .

Le REMESS, en tant que réseau fédérant plusieurs entreprises d’économie sociale et solidaire, présente un large éventail d’opportunités dans plusieurs secteurs, eu égard à leurs expertises et expériences, elles ont beaucoup de débouchés à exploiter pour favoriser la lutte contre le changement climatique. Le REMESS avec ses partenaires nationaux et internationaux, va les accompagner afin d’augmenter leurs chances de mieux appliquer sur le terrain les recommandations de la COP22.

Cette vision permet de réduire l’impact du capitalisme sauvage qui a instauré une concurrence éfreinée des appareils productifs ,des structures sociales et des systèmes financiers dont la principale visée est le profit de la main invisible du marché.

En effet la vision libérale d’économie du marché, même avec un modèle dominant, loin de toute vision post-coloniale, permet la coexistence à toutes les formes d’entreprises qu’elles soient étatique, capitaliste ou sociale. D’autant plus que l’économie sociale et solidaire et environnementale se place contre la dictature de tout Etat et tout marché qui a largement manifesté ses faiblisses socio-économiques et ses nuisances sur la nature.

Elle crée un contexte qui ouvre de grandes perspectives à la promotion de nouveaux modèles de croissance économique en rupture avec les schémas traditionnels du capitalisme étatique ou commercial.
Le Maroc, partant du fait qu’il a déjà pris conscience pour le changement climatique est parmi les plus importants défis de ce siècle, a pris en charge la responsabilité d’agir en faveur des pays subissant les méfaits du changement climatique, sachant que le modèle économique du 19ème et 20ème siècles a atteint ses limites nuisant l’environnement.

Pour améliorer cette situation, il convient de libérer les initiatives pour conforter les producteurs et les entrepreneurs, grands et petits, avec une ouverture à l’investissement étranger raisonnée et maîtrisée pour un développement durable et décent , loin de tout dogmatisme ultralibéral, couvert parfois sous la houlette d’organisations internationales.

Le développement durable, en tant que démarche de progrès, s’appuie dans sa mise en œuvre sur le caractère indissociable des dimensions économique, sociale, culturelle et environnementale des activités de développement et visant à répondre au besoin du présent sans compromettre les potentialités des générations futures dans ce domaine. En effet les changements climatiques sont considérés comme l’une des menaces la plus préoccupante au niveau international, dont on mesure encore mal les effets sur l’évolution à venir des écosystèmes.

Le REMESS se doit de participer activement en agissant pour le développement durable et contre les changements climatiques en collaboration sud/sud et nord/sud, en intégrant les différents acteurs internationaux. A cet effet, misant sur son positionnement idéal au carrefour entre l’Europe et l’Afrique et sur ses relations privilégiées comme un pays modéré, avec un grand nombre de pays africains, le Maroc cherche à œuvrer comme une plateforme dans ce continent dans une collaboration gagnant- gagnant renforçant l’excellent potentiel africain en consolidant le partenariat sud/sud et nord /sud et sans mettre en porte à faux par rapport aux réalités africaines.

A ce sujet le président du parlement panafricain a salué l’apport du Maroc au développement du continent africain et son organisation de la conférence COP 22. Et comme il a été reconnu par les nations unis, le Maroc a un rôle de leader dans l’organisation de la COP 22 pour fédérer les efforts et favoriser le consensus sur les questions prioritaires dont l’importance est capitale pour l’humanité.

Il a réussi à intégrer les questions environnementales dans sa stratégie du développement durable. Car si l’accord de Paris a mis en place un cadre pour le futur de la planète, c’est à Marrakech lors de la COP 22 que nous devons travailler pour répondre aux attentes de l’humanité.

C’est dans ce cadre que le REMESS, à l’instar de la politique socio-économique nationale agissant dans un projet éco-citoyen, a prouvé que la préservation du terroir et l’ouverture au monde moderne ne sont pas incompatibles pour un environnement meilleur dans processus solidaire. Ainsi, à titre d’exemple, que pour atteindre ce noble objectif , le REMESS et ses membres et notamment le RADOSE ( Réseau des Associations des Oasis Sud Est ), militent pour faire face, dans les zones désertiques et Oasiennes aux changements socio-économiques et climatique pour évaluer leurs impacts et mettre en œuvre des actions de développement durable et la protection de biodiversité , la valorisation des énergies nouvelles et renouvelable , la gestion durable des ressources hydrauliques dans l’Eco-système oasien, le tourisme écologique, les produits bio du terroir ; tous ceux –ci dans le cadre du plan Maroc Vert.
À cet effet, ce plan prévoit des stratégies pour la promotion de l’agriculture solidaire dans le cadre de l’économie sociale et solidaire dans une approche de démocratie participative comme prévue dans une vision progressiste par les dispositions constitutionnelles.

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