Ressources documentaires du Laboratoire et Service International d'appui Aux Organisations d'Economie Sociale et Solidaire en Afrique
| Type du document: | Fiches techniques |
| Thème abordé dans le document: | Etudes de cas ESS |
| Nombre de pages : | 56 pages |
| Date de publication : | 0000-00-00 |
| Edition du document : | Non precisé |
| le(s) auteur(s) du document : | Etobe, J.M. |
| Source vers le document: |
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| Resumé du document : | « C'est un document diagnostic intéressant avec des pistes de solutions qui doit être un livre de chevet pour tous ceux interviennent dans l'accompagnement des organisations de producteurs qui subissent une mutation en coopérative dans le cadre de l'OHADA. » Domtani Ali, évaluateur Selon la FAO, le FIDA et le PAM, 805 millions de personnes dans le monde, soit une personne sur neuf, souffrent de la faim. L'humanité dispose des moyens pour mettre un terme à la faim, mais pour y parvenir, il faut impérativement investir dans l'agriculture familiale pour « nourrir le monde en produisant plus et mieux avec moins de moyens ». À son tour, cela nécessite de créer des organisations d'agriculteurs qui sont fortes, représentatives et bien structurées, capables de défendre les intérêts de l'agriculture familiale. Principalement destiné aux parties prenantes du développement rural en Afrique subsaharienne, ce guide qui arrive à point nommé vise à contribuer à la création d'organisations d'agriculteurs professionnelles en bonne et due forme, par la mise en œuvre d'outils de renforcement des capacités techniques et organisationnelles. En présentant une multitude d’exemples, de tableaux et de conseils pour réussir, il couvre des sujets tels que la mesure des capacités de gestion, le renforcement des capacités organisationnelles et techniques et l’élaboration d’outils de soutien pour l'organisation de coordination. Dès lors que ces organisations seront mieux à même d'offrir des services professionnels à leurs membres, les agriculteurs pourront être reconnus comme des parties prenantes à part entière. Grâce à cela, ils se trouveront dans une meilleure position pour s’attaquer aux problèmes de la nutrition, aux difficultés socioéconomiques et aux défis environnementaux auxquels la société doit actuellement faire face. |
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